Parce que le chromage-dur risque d’être définitivement banni par la réglementation dès 2024, Verbrugge a fait le choix, il y-a 20 ans déjà, de développer les revêtements de nickel chimique.
Dans les rares substituts au chrome, le nickelage chimique se démarque en effet comme une solution polyvalente qui offre une dureté et une résistance à l’usure voisines du chrome tout en offrant une tenue à la corrosion très nettement supérieure.
Les revêtements de nickels avec inclusions de particules viendront vraisemblablement prochainement transcender les performances du chromage dur.
Dureté élevée
Le nickelage chimique permet d’atteindre une dureté de 850 à 1.000 Vickers (Hv 0,1). Cette dureté est comparable à celle du chrome qui est souvent utilisé pour sa capacité à résister à l’usure.
Résistance à l’usure et à l’abrasion
le nickelage chimique est un revêtement qui résistera parfois mieux que le chrome à toutes forme d’usure: adhésive, abrasive, corrosive, par fatigue mais aussi aux usures d’origine électriques et à l’érosion par cavitation. Les pièces revêtues de nickel sont ainsi capables de supporter de nombreuses contraintes, même dans les environnements corrosifs les plus exigeants.
Une alternative non toxique
Contrairement au chromage traditionnel, le nickelage chimique n’utilise pas de substances cancérigènes telles que le chrome hexavalent (Cr6+). Cela en fait une alternative plus respectueuse de l’environnement et de la santé. Vous pouvez ainsi bénéficier de performances exceptionnelles sans compromettre vos engagements en matière de développement durable.