Insonorisation

Elles évitent la dif­fu­sion acous­tique pour les com­po­sants bruyants comme les ven­ti­la­teurs, filtres, ca­na­li­sa­tions, uni­tés d'en­traî­ne­ment, etc. Un amor­tis­se­ment est pos­sible au sens plus large par en­cap­su­la­tion, ex. : au moyen de ca­bines in­so­no­ri­sées, d'en­ceintes, de coques iso­lantes ou d'i­so­la­tions des ca­na­li­sa­tions et du cais­son de filtre. Ap­pli­ca­tion Ils sont uti­li­sés lors­qu’il n’est pas pos­sible d’évi­ter la pré­sence d’ou­ver­tures vers des com­po­sants gé­né­rant du bruit. C’est par exemple le cas des conduites des ef­fluents ga­zeux. Des si­len­cieux à tuyau et amor­tis­seurs sont uti­li­sés. Leur struc­ture est gé­né­ra­le­ment ba­sée sur le ra­jout d’un ma­té­riau d’ab­sorp­tion dans un boî­tier de si­len­cieux, l’éner­gie so­nore étant éli­mi­née par la struc­ture po­reuse de ce ma­té­riau. Un mo­dèle spé­cial de si­len­cieux ap­pelé Ré­son­na­teurs est à pri­vi­lé­gier en cas de bruits très basses fré­quence