Les capteurs de CO2 NDIR ont évolué au fil des ans, passant des manomètres à mercure à la technologie NDIR volumineuse et encombrante, puis aux capteurs de CO2 plus petits et beaucoup plus adaptés aux solutions modernes. Cet article explique ce qu'est un capteur NDIR, pourquoi il est nécessaire et dans quelles industries il est utile. Il suggère également des produits d'Edinburgh Sensor pour répondre à vos besoins en matière de capteurs de CO2.
La détection du dioxyde de carbone est devenue un défi dès la découverte de ce gaz au milieu du 18ème siècle. Pour les premières détections de CO2, les manomètres à mercure étaient précis et fiables, mais l'analyse des échantillons pouvait prendre des heures. La nécessité de surveiller les concentrations de CO2 étant devenue plus évidente, les premiers capteurs de CO2 NDIR ont été conçus. Ils donnaient des résultats presque instantanés. Au fil du temps, la technologie a permis de réduire la taille des capteurs de CO2, ce qui les rend beaucoup plus compacts et pratiques à utiliser dans un certain nombre d'industries différentes.
Les détecteurs de CO2 NDIR (infrarouge non dispersif) fonctionnent sur la base de l'absorption par le CO2 de la lumière infrarouge à une longueur d'onde spécifique, ce qui permet de le distinguer facilement des autres gaz (de nombreux gaz couramment détectés ont des longueurs d'onde d'absorption infrarouge uniques).
Une source lumineuse émet une lumière infrarouge qui traverse une chambre d'échantillonnage où entre l'échantillon d'air. Un capteur infrarouge est placé de l'autre côté de la chambre, avec un filtre optique devant le capteur pour que seule la longueur d'onde souhaitée soit détectée. Au fur et à mesure que des molécules de gaz CO2 pénètrent dans la chambre d'échantillonnage, absorbant la lumière, le capteur détecte moins de lumière IR.
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