Exosquelette de soutien lombaire CDYB-EP

mécaniquede travail

POURQUOI l'exosquelette de soutien dorsal est-il nécessaire ? Pour une personne pesant 140 livres, la tension exercée sur le muscle érecteur de la colonne vertébrale lors de la flexion peut atteindre environ 2,5 fois le poids du corps. La pratique fréquente de l'haltérophilie ou de la flexion peut entraîner des lésions musculo-squelettiques. Soutien élastique Sûr et efficace Augmente la durabilité Protège le squelette musculaire 25Kgf de soutien pour les muscles du dos en moyenne Poids total de 2,4 kg Taille entièrement réglable pour différents utilisateurs Système passif Aucune alimentation électrique n'est nécessaire Squelette bionique en fibre de carbone Inspiré par la colonne vertébrale et le sacrum humains, le mécanisme complexe traditionnel de contrôle du couple est remplacé par la géométrie simple du cadre du squelette CDYB, qui génère le couple d'assistance souhaité en fonction de l'angle de flexion. La conception bionique a permis de réduire considérablement le poids et la complexité de l'appareil et d'en améliorer le confort. Le cadre solide est fabriqué en fibre de carbone et en alliage d'aluminium d'aviation. Mécanisme de marche différentielle Le mécanisme différentiel intégré peut détecter l'état de fonctionnement de l'exosquelette. "L'état de faible résistance peut garantir la liberté d'actions telles que la marche, la course, l'accroupissement, l'escalade, etc. Lors d'une action de flexion, le mécanisme commence à s'engager et à fournir un couple d'assistance. Grâce au mécanisme de réglage breveté, une structure de réglage simple, légère et facile à utiliser est intégrée à la corde. Il suffit d'ajuster un seul point pour s'adapter aux différents besoins et aux utilisateurs de différentes tailles. Réduit le stress musculaire du dos d'environ 25 % en moyenne pendant le levage. Réduit le stress musculaire du dos jusqu'à 60 % pour les postures de flexion 1. En raison de la diversité des utilisateurs, une période spécifique peut être nécessaire pour s'habituer à un exosquelette, tout comme la première fois que l'on fait du vélo ou que l'on utilise un nouvel outil.